RDC : de nouveaux dirigeants nommés à la tête des universités et instituts de Kinshasa et Mbandaka
La ministre de l’Enseignement supérieur, universitaire, recherche scientifique et Innovation (ESURSI), Thérèse Sombo, a reconduit et nommé de nouveaux dirigeants à la tête de plusieurs universités et instituts publics de Kinshasa et Mbandaka. Ces nominations visent à redynamiser la gouvernance des ces établissements et à impulser un leadership transformationnel.
Les responsables nommés ou reconduits à Kinshasa sont :
- Espérance Bayedila, rectrice de l’Université des sciences de l’information et de la communication (UNISIC) ;
- Jean-Marie Kayembe, recteur de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) ;
- José Kaputa, directeur général de la Haute École de Commerce (HEC) ;
- Élisée Ilunga, directeur général de l’Institut supérieur des techniques appliquées (ISTA) ;
- Dédé Aliango, directeur général de l’Institut supérieur des statistiques de Kinshasa (ISSK) ;
- Hubert Kazadi, directeur général de l’Institut supérieur d’architecture et d’urbanisme (ISAU) ;
- Henri Kalama, directeur général de l’Académie des Beaux-Arts (ABA).
Les nommés ou reconduits à Mbandaka sont :
- Université de Mbandaka (UNIMBA) : Lotoy Ilango-Banga Jean-Pierre (Recteur) ;
- Institut Supérieur des Techniques Médicales de Mbandaka (ISTM) : Ngoy Bokolombe Pitchou (Directeur Général) ;
- Institut Supérieur de Développement Rural (ISDR/Mbandaka) : Fohle Lygunda Li-Mwangwela (Directeur Général) ;
Institut Supérieur de Pêche (ISPêche/Mbandaka) : Masamba Famode David (Directeur Général)
Selon le ministère, ces désignations répondent à l’urgence de renforcer la gestion administrative et académique et d’améliorer la performance des institutions d’enseignement supérieur. Les membres des Comités de Gestion qui accompagneront ces personnalités ont été aussi nommés par la ministre Thérèse Sombo
Dans le même esprit de réforme, le ministère de l’ESURSI rappelle aux banques partenaires l’interdiction formelle d’accorder l’accès aux comptes des établissements universitaires aux anciens mandataires. Toute violation entraînera des sanctions sévères et pourra donner lieu à des actions judiciaires.
Cette mesure vise à assurer la transparence, protéger les fonds publics et sécuriser la gestion financière du secteur de l’Enseignement supérieur et universitaire.