Élections 2023 : Fayulu insiste « Il est établi que Tshisekedi, l’usurpateur, doit partir le 23/01/24 sans autre forme de procès »

Dans un tweet ce lundi 27 mars, le candidat malheureux à l’élection présidentielle de 2018 s’appuie sur les dispositions de la Constitution de la République Démocratique du Congo fixant la durée des dirigeants politiques pour rappeler la fin du mandat de son ancien allié sous Joseph Kabila. 

« Congolais(es), Il est établi que M. Tshisekedi, l’usurpateur, doit partir le 23/01/24 sans autre forme de procès. Les articles 70, 103, 105, 197 al.4, et 198 al.2 de notre Constitution disposent que les mandats des dirigeants politiques ont une durée de 5 ans. On y veillera! », a-t-il tweeté. 

Un second mandat au Président de la République n’est pas exclu. Déjà candidat Président de la République de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) et de l’Union Sacrée, Félix Tshisekedi ne cesse de bénéficier des assurances de sa famille politique pour sa reconduction à la tête de l’Etat. 

L’opposition congolaise, par contre, pense que le bilan de Félix Tshisekedi à la tête du pays depuis 2019 constitue un élément majeur pour que le Peuple congolais n’accorde un second mandat au fils du légendaire opposant, Étienne Tshisekedi. 

Prévues en décembre prochain selon le calendrier de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) les élections présidentielles de 2023 nous en diront plus.